Durant la grève des éboueurs contre la réforme des retraites, les poubelles se sont accumulées pendant plus de deux semaines dans Paris. Le street-artiste Bisk en a profité pour réaliser ses œuvres sur de nouveaux supports. Armé de bombes de peinture, il a transformé les tas de déchets accumulés sur les trottoirs en intrigants « monstres » sur son compte Instagram … Un reportage vidéo de 4’44 » signé Brut dans les rues de Paris …
📸Retrouvez l’ensemble du travail de Bisk sur son compte instagram …
Une montagne de détritus, deux bombes de couleurs et Bisk, street artiste, transforme les ordures ménagères qui s’entassent dans les rues de Paris en “monstre”. “Ça va très bien avec. Ça pue, ça nous dérange. Et puis d’un seul coup, là, ça va mieux, il devient marrant”, explique l’artiste. Dans cette démarche, Bisk sillonne les rues, à la recherche du bon angle pour exprimer sa pleine créativité et en trois minutes, il prête des traits expressifs aux poubelles.

C’est une initiative qui donne le sourire en pleine grève des éboueurs à Paris. Un street-artiste nommé Bisk transforme les tas de poubelles qui s’accumulent en personnage très étonnant. Tour d’horizon de ses meilleurs créations.
Des monstres gentils, oui c’est un paradis ?
Une bouche dessinée dans une télé, de grands yeux ronds peints sur les sacs et quelques objets pour ajouter d’autres traits de visage suffisent à Bisk pour raconter une histoire. Sans l’intention de véhiculer d’idées politiques ou de messages, l’artiste parcourt la ville pour utiliser la matière et explorer son art. À son compteur, il dénombre pas moins de “3 000” monstres poubelles. “Il y a un message marrant avec le bonhomme, dessiné sur les poubelles, on les voit encore plus. On voit autre chose que des détritus. Ça donne le sourire, un peu d’espoir ou ça fait juste réfléchir”. Pour lui, la situation actuelle dans les rues est “un décor de science-fiction qui donne un avant-goût du futur”.
C’est en se promenant dans les rues de la ville que l’idée vient à lui. “J’avais un feutre. J’ai fait un test et ça m’a rappelé une…
La suite est à lire sur: www.prendreparti.com
Auteur: Claude Morizur