À Montpellier, l’extrême-droite se réapproprie l’art de rue

Ces formes artistiques de résistance populaire, enracinées et issues d’une pensée politique de gauche, comme le graffiti, le pochoir, la peinture murale, le collage ou les autocollants, sont aujourd’hui récupérées massivement par les néo-nazis et autres groupes identitaires d’extrême droite. À partir des années 60, l’activisme et la protestation sociale trouvent un nouvel élan, que façonnera d’un…

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Auteur: Ricardo Parreira