Allianz l'assureur malveillant ? — Claude JANVIER

Voici leur prose (en italique ) publiée à travers le monde. Mes remarques sont en caractères droits. Je vous laisse juger :

 » Johannesburg/Londres/Munich/New York/Paris/São Paulo/Singapour. Les entreprises doivent se préparer à une augmentation des troubles sociaux. Le potentiel déstabilisateur des chaînes d’approvisionnement perturbées et la hausse du coût de la vie due à l’inflation pourraient provoquer des troubles civils dans de nombreux pays du monde.

Les médias nous assènent que les chaînes d’approvisionnement ont considérablement souffert au cours des deux dernières années en raison de la « pandémie » Covid-19. Une prétendue pénurie de matériaux alors qu’en fait, des stocks, il y en a. Mais étant donné que les pays ont géré la crise Covid-19 de façon totalement frénétique et illogique, cela a affecté le prix des expéditions. Cette « crise » n’est pas près de s’arrêter, car inflation et stagflation sont les maîtresses mots du moment. Profits en hausse pour l’Etat français car, plus les prix grimpent, plus la TVA récoltée est importante. Ajoutez à cela les bénéfices réalisés par les centrales d’achats et le commerce en général grâce à des prix majorés à tour de bras et à l’épée de Damoclès que représente les menaces de restrictions, vous obtenez encore plus de soumissions de la population et encore plus de laisser pour comptes.

Concernant l’huile de tournesol, la moutarde et la farine, ce serait la faute du Président Poutine et des vilains français qui ont surstockés les produits. J’ignorais que nous dépendions autant de l’Ukraine pour tout un tas de produits. Naïvement, je pensais que la moutarde était fabriquée dans la région de Dijon. Tout ce cirque est fort étrange, car, il y a peu, je me trouvais en Croatie et je n’ai pu que constater que les rayons des supermarchés regorgent de moutarde et d’huile de Tournesol.

Le FMI en rajoute une couche : « Les problèmes d’approvisionnement qui ont touché à peu près tous les secteurs depuis l’automne risquent de perdurer jusqu’en 2023 ». C’est ce qu’on peut lire dans un nouveau rapport du FMI. À la fin de l’année dernière, le FMI s’attendait encore à ce que les pénuries de voitures soient en grande partie résorbées d’ici à la mi 2022 et que les autres goulets d’étranglement aient disparu d’ici à la fin de cette année, mais le variant omicron est arrivé comme un cheveu dans la soupe. (1) Quel bla-bla inutile et terrorisant !

Les dommages et les pertes causés par les manifestations…

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Auteur: Claude JANVIER Le grand soir