Alors, un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout gaulliste ?

L’accession d’Hitler au pouvoir, la cécité de nos dirigeants d’alors, la bêtise de notre presse lénifiante, l’indigence de notre armée, la trahison de Pétain et du patronat français (« Plutôt Hitler que le Front populaire »), le programme du Conseil National de la Résistance, les postes ministériels qu’il (…)

Editorial

Auteur: Le grand soir
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