Alors que le Premier ministre De Croo, qui préside actuellement le Conseil de l’UE, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen discutent avec les dirigeants de BASF Anvers, plus de 70 ONG, dont Générations Futures, ont exigé la fin de l’accès privilégié aux industries polluantes et une action ambitieuse contre la pollution chimique, en faveur de la la biodiversité et pour lutter contre les crises climatiques.
Lisez la lettre ouverte en anglais ici et ci-dessous un résumé en français.
Dénonciation d’un événement de BASF auquel prennent par des dirigeants de l’UE
Dans cette lettre ouverte adressée au Premier ministre belge Alexander De Croo, plus de 70 organisations non gouvernementales expriment leur inquiétude face à l’organisation d’un événement fermé qui rassemble des acteurs majeurs de l’industrie chimique, dont le Conseil européen de l’industrie chimique (CEFIC) et Essenscia, ainsi que des politiques de haut niveau à l’usine chimique BASF à Anvers. Les signataires dénoncent cet événement comme un signe de la relation privilégiée entre le gouvernement et les industries polluantes, mettant en danger les efforts de lutte contre les crises climatiques, la pollution chimique et la perte de biodiversité.
Un manque de reconnaissance des effets néfastes des pollutions et une lobbying intense
La lettre critique sévèrement le manque de reconnaissance de la part des responsables politiques, y compris le Premier ministre De Croo, de l’impact néfaste de l’industrie chimique sur l’environnement. Elle souligne les efforts de lobbying intenses menés par des entreprises comme BASF et d’autres acteurs énergivores pour affaiblir les réglementations environnementales essentielles proposées par la Commission von der Leyen, notamment la stratégie relative aux produits chimiques et la stratégie de la ferme à la table.
La lettre ouverte accuse également l’industrie de…
La suite est à lire sur: www.generations-futures.fr
Auteur: nadine
