Après de durs combats l'armée française reprend Cahors aux civils qui faisaient leurs courses — Charles SANNAT

Notre pays devient une vaste blague quotidienne.

Désormais, nos valeureux militaires dont le courage est inversement proportionnel au nombre, s’entraînent dans les rues de Cahors… en pleine journée et parmi les passants et les voitures qui circulent et qui ne font pas partie de l’exercice.

Nos soldats s’amusent à tirer (à blanc pour le moment) en pleine ville et malgré la présence de civils. Je me permets au passage de rappeler qu’il n’y a pas si longtemps que cela certaines vedettes s’étaient trompées dans une caserne et avaient chargé les balles à blanc… avec des vraies balles.

C’était en 2008 à Carcassonne… bilan 17 blessés dont 5 enfants. Relire l’article du Figaro ici.

Donc les normes de sécurité que l’on nous impose dans tous les sens c’est très bien. Mais voir se balader des militaires armés ainsi dans les rues ce n’est pas franchement très prudent.

Et tout ceci est à l’image de notre pays qui devient une vaste pétaudière.

source : Insolentiae

De Geb.

On avait eu les « militaires » armés de munitions actives de « Sentinelles », contre un danger salafiste inexistant, (sinon chez les marionnettes de la DGSE comme au Bataclan), et qui restaient l’arme au pied quand besoin se faisait sentir d’intervenir, aujourd’hui on a les « militaires » « à blanc » qui tirent au milieu des civils français contre « on ne sait qui ».

Et le Maire, Jean-Marc Vayssouze-Faure (PS), qui fait le canard tout en hissant le drapeau ukro-nazi au fronton de la Mairie.

Et dire que dans les années 65/70 il était interdit aux militaires de se promener en ville en tenue de combat. Seule la tenue de sortie était autorisée pour les appelés et une tenue civile pour les ADL non missionnés. Il fallait même une autorisation de l’État-Major de la Région militaire pour se marier en tenue à la mairie.

Autant en France, qu’en Allemagne occupée.

Les arguments des autorités militaires d’alors étaient que « se déplacer au civil en tenue de combat était une insulte envers nos concitoyens ».

Et y a pas eu un seul enc…. ni de gauche ni de droite pour mettre le boxon en tout bloquant ou en manifestant. Même pas un tag sur un mur.

Ils sont où les « pacifistes » et « antimilitaristes » en bois, quand la junte macro—nazi occupe leur espace vital ?

La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Charles SANNAT Le grand soir