Article de D.A. Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité russe, paru dans Rossiyskaya Gazeta, sur les résultats de l'année 2022, qui ont changé l'ordre mondial.

décembre 2022 – traduction automatique du Russe via Deepl.com

Extraits :

(…)

Il est désormais clair que dans les relations des États indépendants et souverains avec le monde anglo-saxon dans la configuration actuelle, il ne peut être question de confiance, d’espoir dans l’honnêteté des partenaires, dans leur fidélité à leur parole et même à leurs propres principes magnifiquement énoncés. Hélas, mais il n’y a personne avec qui parler et négocier en Occident, rien à dire et aucune raison de le faire. Ce sont les événements de l’année dernière qui ont annulé la possibilité même d’un dialogue digne de confiance et respectueux avec les représentants de ce « pôle » mondial. La seule chose qui reste est la stupéfaction : ces gens se considèrent-ils sérieusement comme des leaders mondiaux, ont-ils un droit sur quelque chose de global et rêvent-ils de dicter leur volonté aux autres ? Sur quelles bases, s’ils se sont discrédités, se sont inscrits dans l’impuissance, ont menti, se sont vautrés dans les problèmes ?

Les actions et les actes des dirigeants occidentaux actuels et anciens sont frappants par leur cynisme calme et direct. Comme l’a récemment admis l’ancienne chancelière allemande, les accords de Minsk, signés en 2014, n’étaient qu’un paravent pour masquer les véritables intentions de l’Occident. Ils ont été conçus pour « donner à l’Ukraine le temps de se renforcer » et de développer sa puissance militaire. C’est-à-dire qu’ils ont été conçus à l’origine pour préparer une guerre sanglante. Ce que les néo-nazis de Kiev ont fait – avec la pleine complicité ou l’aide directe des « Européens civilisés ». Malheureusement, nous avons ensuite fait confiance à nos partenaires, sans nous attendre à ce qu’ils trahissent directement et travaillent ouvertement à la destruction de notre pays. Je me souviens bien de la réunion du Conseil OTAN-Russie au plus haut niveau qui s’est tenue à Lisbonne en 2010, à laquelle j’ai participé en ma qualité de président de la Fédération de Russie. Les membres de l’alliance nous ont alors assuré que nous n’étions pas une menace les uns pour les autres et que nous étions prêts à travailler ensemble pour la sécurité commune de l’Euro-Atlantique. L’expansion de l’OTAN vers l’est et les préparatifs de confrontation, voire de guerre avec la Russie, n’ont pas cessé un seul instant. Un flot incessant de mensonges cyniques.

Une crise générale de confiance dans les pays dits développés et les institutions…

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Auteur: Le grand soir