« Assurance maladie ma chérie pourquoi m’as-tu trahi » – Lettre ouverte d’un repenti du vaccin

Nous publions ci-dessous une lettre ouverte qui nous a été proposée à titre personnel (n’engageant donc que son auteur).

« Chère C.P.A.M. (Caisse primaire d’assurance maladie). Depuis un certain temps, tu me surveilles comme le lait sur le feu. Je ne sais si je dois t’en remercier. Ainsi, tu viens de m’envoyer un message pour m’encourager à déjà faire un rappel de ma vaccination contre le Covid, six mois après mes deux premières injections de Pfizer. Car j’appartiens à la tranche d’âge concernée (juste plus de 65 ans).

Alors voilà : je n’ai pas l’intention de me soumettre à ce rappel. C’est quand même bête. Je ne suis même pas anti-vaccin. Comment en est-on arrivé là ? Je connais des anti-vaccins dans mon entourage. Souvent, ils sont animés d’une vision critique du modèle unique de la médecine dominante. Ils cherchent des alternatives. Je peux les comprendre. Mais je ne suis guère préoccupé par une approche des questions sanitaires et médicales sur ma seule personne.

J’ai une vision assez trépidante de l’existence, que la mort conclut inévitablement, et dont la maladie fait naturellement partie. Je cède peu aux visions alarmistes. Précisément sur le COVID, j’étais surtout inquiet de l’idée d’un contrôle généralisé sur la population, et de vivre sous les ordres anti-démocratiques d’un Conseil de défense qui n’est même pas peuplé de militaires, mais de mandarins médicaux, un milieu dont on sait trop bien les pratiques de conflits d’intérêts dans l’actualité, et autres aberrations thérapeutiques et idéologiques au cours de l’histoire.

Mais bon. Un peu aussi par confort personnel pour mes déplacements à l’étranger, je suis passé outre ces réticences. J’ai bien voulu croire au bénéfice probable d’une campagne générale de vaccination de la population, sans doute nécessaire. Je m’y suis rangé de bonne foi, sans en faire plus que ça une affaire. Et j’ai reçu mes deux doses de Pfizer au printemps dernier.

Pourquoi donc m’arrêter soudain en si bon chemin ? Parce que l’autorité médicale et administrative dont tu es un rouage, chère CPAM, a complètement trahi ma confiance. En me faisant vacciner, j’ignorais, naïf que je suis, que je serais automatiquement rangé parmi les collabos d’un système autoritaire de stigmatisation et de sanction à l’encontre de toute une partie de la population. On ne me l’avait pas dit. Le Pass n’existait pas encore. Je ne savais pas que des amis proches devraient renoncer à…

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Auteur: jules