La Fédération nationale ovine prétend que les attaques d’ours augmentent, avec près de 1 000 brebis victimes par an. Mais ces chiffres comprennent des animaux pour lesquels aucune preuve accablant le prédateur n’a été relevée. Pour bien tuer l’ours, il faut d’abord vendre sa peau. C’est en tout cas la stratégie que semble avoir adoptée la Fédération nationale ovine (FNO). Fin juillet, cette branche de la FNSEA a diffusé un dossier d’information nommé « Menace sur les Pyrénées » qui prétend que les attaques (…)
–
Info
/
Animaux
,
Agriculture
La suite est à lire sur: reporterre.net
Auteur: