Depuis pas mal de temps, tout le monde a compris que les promoteurs du sionisme ont toujours pris le plus grand soin dans leur façon de communiquer. Veillant particulièrement au choix judicieux d’images et de mots à utiliser, sachant l’impact que ceux-ci peuvent avoir sur le public. Un budget annuel conséquent est d’ailleurs utilisé par le régime terroriste israélien pour promouvoir sa funeste idéologie, et indiquer à tous ses soutiens, le langage précis à utiliser lors de leurs communications. Et il en est certains qui sont devenus de vrais orfèvres en la matière, n’hésitant pas à falsifier le récit et les images qu’ils diffusent en boucle. Les plus grands médias et leurs journaleux habituels s’y plient sans vergogne, sensibles sans doute à quelque avantage et dessous de table qui aident à huiler une machine dont on peut dire désormais sans risque de se tromper qu’il s’agit bien d’une propagande aussi nauséeuse que mensongère.
Dans cette optique, je me fais un devoir de revenir sur un terme utilisé depuis des décennies par le régime terroriste israélien et repris tel un mantra par ses nervis nombreux, afin d’en donner un nouvel éclairage que la situation dans la bande de Gaza autorise. Je veux parler du terme ‘holocauste’. Mot que j’ai déjà réfuté à plusieurs occasions expliquant qu’il avait pour signification originelle la notion de ‘sacrifice’. Et qu’à l’époque de l’extermination de juifs par les nazis allemands lors de la guerre 39-45, je ne voyais pas où il y avait eu un ‘sacrifice’ de la part de juifs contraints et forcés par le pouvoir occupant nazi.
Le mot ‘holocauste’ vient du grec, et signifie le sacrifice par le feu de la bête entière offerte à Dieu au lieu de n’en offrir qu’une partie et de manger le reste. Ce serait à peu près la même chose qu’une immolation. Où y aurait-il eu un tel ‘sacrifice’, une immolation de juifs à Dieu dans les pratiques…
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Auteur: Daniel VANHOVE