Pourquoi ce bilan
« Par devoir de mémoire. Par devoir de responsabilité. Par devoir de clarification. Parce qu’il est impérieux de se rappeler à quel point Macron est devenu le nom d’un libéralisme sans cœur, sans âme et sans conscience.
Parce que nous ne pourrons pas renvoyer l’extrême-droite dans les poubelles de l’histoire sans traiter le mal à la racine et sans tourner, une fois pour toutes, la page du macronisme. Parce que l’effondrement électoral du bloc centriste libéral permet enfin à une réelle alternative humaniste, démocratique et écologiste d’exister.
Ce qui se joue dans quelques jours n’est pas simplement un combat entre des partis politiques aux visions opposées. C’est le présent et l’avenir de nos droits fondamentaux, de la dignité humaine, de la liberté d’expression, de la sécurité des personnes, de la préservation du climat et des écosystèmes, de la cohésion sociale, du vivre ensemble et de la paix civile dont il s’agit. » expliquent-ils
La fin des digues morales
Lors des commémorations sur centenaire de l’armistice de 1918, Emmanuel Macron souhaitait honorer la mémoire de Philippe Pétain, frappé d’indignité nationale et déchu de toutes ses distinctions militaires dès 1945.
En décembre 2020, Emmanuel Macron remet en catimini la légion d’honneur au dictateur égyptien Al-Sissi, tyran associé à la répression des civils et à la torture. La presse française a été tenue à l’écart de la cérémonie.
Le nombre de femmes et d’enfants vivant à la rue a explosé, sans qu’aucun plan d’urgence ne soit engagé. Pis, les politiques d’expulsion des villes, comme celle menée actuellement pour « préparer » les JO, aggravent le problème du manque de logements sociaux et de places en centres d’hébergement.
Emmanuel Macron a affiché son soutien aux régimes autoritaires en multipliant les visites d’État, qui constituent la plus haute forme possible de…
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Auteur: La Relève et La Peste