Bolivie : Même sans Morales, la gauche triomphe

Il y a un an, Evo Morales quittait sous la contrainte la présidence de la Bolivie. Soupçonné de fraude
électorale, il avait été poussé à la démission et à l’exil politique par la droite bolivienne. Jeanine Anez,
figure controversée de la droite bolivienne – notamment pour ses prises de positions, jugées racistes, à l’égard des populations indigènes – s’auto-proclamait, bible à la main, présidente par intérim. Le temps que soient organisées de nouvelles élections.

Malgré de multiples reports, les élections ont finalement eu lieu le 18 octobre dernier. Et à la surprise
générale, c’est Luis Arce, candidat du parti d’Evo Morales, le MAS, qui l’emporte dès le premier tour.
Qu’est-ce qui s’est passé depuis un an ? Quel bilan pour Jeanine Anez ? Qui est Luis Arce ? Que peut-on attendre de son projet politique 

Pour répondre à ses questions, j’ai contacté Hervé Do Alto, sociologue spécialisé dans les politiques
latino-américaines et plus particulièrement de la Bolivie.

AFP

Auteur: Le Média
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