Les virus sont en train de nous tuer et nous devons réagir et nous défendre. Il en va non seulement de notre survie personnelle et collective, mais de la survie des êtres vivants, en entendant par-là de toutes les personnes (les autres animaux, comme nous, aussi) qui n’ont pas seulement envie de ne pas mourir mais qui veulent vivre librement, sereinement, sans angoisser du matin au soir, en recherchant au quotidien toute possibilité de vivre heureusement, en confiance, en amitié, en solidarité avec les autres.
Le virus le plus récent et qui fait sa triste actualité en cette calamiteuse année 2020, le dénommé Covid19, a déjà tué plus d’un million d’habitants dans le Monde. Un virus qui appartient à une nouvelle famille de virus apparus au début du XXIe siècle (SRAS), qui portent atteinte à l’appareil respiratoire et contre lesquels la recherche antivirale n’a pas encore trouvé la parade. Face à l’inconnu, les Gouvernements du Monde entier, à commencer par la Chine (Etat qui cumule les pires aspects du totalitarisme policier et ceux du capitalisme prédateur), ont décidé de prendre des mesures drastiques pour contenir la contamination et limiter le nombre de morts. Grâce à ces mesures, l’Humanité a sans doute économisé des morts, mais à quel prix ? Juste en termes de mortalité, en plus des morts provoqués par le Covid lui-même (tuant, faut-il le rappeler, neuf fois sur dix des personnes de plus de 65 ans et déjà bien fragilisées par d’autres maladies) il faudrait comptabiliser tous les morts par manque de soins, par dépression suicidaire, par perte de boulot et de revenus, par contrainte à la solitude, à l’apathie et autres maladies physiques et psychiques.
D’ailleurs, les mesures prises contre cette crise sanitaire mondiale sont-elles justifiées ? Sont-elles justes et proportionnées ? Quand on…
Auteur: lundimatin
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