L’article tourne un peu partout en ce moment, c’est un papier du Figaro en mode « grand entretien » avec à ma gauche (sic) notre Christelle Morançais (bientôt) nationale toujours dans la roue de la tronçonneuse et du fracas qui précèdent le fascisme (bah oui ma cricri, ce que tu fais, la diversité que tu réduis et détruit, écoute bien ma cricri, moins de diversité c’est toujours plus de Bolloré, et l’agenda de ton copain Bolloré et autres « entrepreneurs de génie » comme tu l’affirmais encore récemment à propos d’Elon Musk, bah c’est le fascisme). Et à ma droite (là c’est bon), Agnès Verdier-Molinié, qui depuis des années essaie de nous faire croire qu’elle dirige un institut universitaire (l’IFRAP) là où il y a essentiellement un énième Think Tank libéral tout pourri rempli de chroniqueurs de chez Wish pour plateaux télé de C8.
Mais moi j’ai vu la photo. LA PHOTOOOOOOO. OMFG. Allez. Hop la photo.
Vous voyez le truc vous ? Non parce que y’a un truc hein.
La photo en vrai sur le site du Figaro fait encore davantage flipper ou rigoler selon l’humeur. Je vous la mets quand même hein.
Et là vous le voyez le truc ? LE. TRUC. Non mais sérieux, on dirait Olivier Mine et Passe-Partout version Dark et Girly.
Bon bref. Donc j’ai vu la photo et j’ai eu une pensée pour l’intermittent du spectacle à 4 pattes et sur le dos duquel se tient Christelle Morançais pour paraître plus grande que sa copine Agnès Verdier-Molinié.
Et sinon, concernant Cricri tout est pathétique dans « l’intention » de cette photo : le regard, la coiffure, la posture, l’épaule en avant … tout est fait aussi pour rappeler que la politique (cricri) surplombe et dicte l’économie qui attend docilement les bras croisés (Agnès). On dirait vraiment un boulot de stagiaire de 1ère année en agence de communication (les portes de l’IFRAP te sont ouvertes petit stagiaire, fonce vers ta destinée).
En…
Auteur: Olivier Ertzscheid