Chaque année, à l’approche de la Conférence sur le climat, se dessine un concours entre grands dirigeants du monde, qui rivalisent de grandes phrases et de promesses d’action. Cette année, le pape François fera une apparition quasi divine (1) à la COP 28 qui se tient à Dubaï, contrairement au président des États-Unis, qui n’a toujours pas inscrit ce rendez-vous dans son agenda. Du côté des grandes déclarations, le président brésilien a déjà annoncé qu’il proposerait la création d’un fonds destiné à préserver les forêts tropicales et Emmanuel Macron devrait présenter un texte qui incitera la communauté internationale à tripler les capacités de la production nucléaire mondiale d’ici à 2050 pour limiter le réchauffement climatique.
Quant au controversé président émirati de la COP 28, Sultan Al-Jaber, par ailleurs PDG de la compagnie pétrolière nationale d’Abou Dhabi, il a déclaré dans un entretien à l’AFP : « Tout le monde doit faire partie du processus, tout le monde doit assumer ses responsabilités et rendre des comptes. Cela inclut toutes les industries, notamment les industries très émettrices comme l’aviation, les transports, l’aluminium, le ciment, l’acier ainsi que l’industrie pétrolière
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Auteur: Vanina Delmas