Comment mettre fin au système ? — Gilbert GUIGANT

Quatre faits, quatre, qui défont les idéologies :

1- Surtout pas de « dette publique » = elle n’est que la somme des gains du privé.
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Ils voudraient nous faire payer deux fois : en utilisant illégalement l’État pour déposséder 90 % des populations. Et ce sans jamais participer aux impôts, ceux qu’ils doivent impérativement, eux. Devenant, ainsi, des énormes charges pour les budgets collectifs (manques graves des recettes et abus notoires de subventions (sic) de la dépense publique)…Et puis en rassemblant (en un second temps) le total de leurs profits, donc très délinquants, sous le nom de faussaires de « dette publique ». Vérifiez les deux sommes, elles se superposent complètement. Nulle coïncidence ne peut exister à ce niveau. En conséquence ? Ce n’est pas du tout une « dette publique » mais uniquement une « dette privée ». C’est la « leur » pas la nôtre. Nous n’avons absolument rien à payer : déjà fait !

Mieux encore. Nous y mettons fin en une seconde de décision décisive : interdire au privé l’obligation Illégale de forcer, les pays européens, d’emprunter uniquement près des banques privées.. Puisque la BCE est là pour cela : financer en péréquation les États. Exactement comme au Japon et aux États-Unis où ces pays n’empruntent à aucune banque privée (et pourquoi le feraient-ils vu qu’ils ont seuls le « pouvoir régalien ?). Donc ce deux pays usent de la « planche à billets ». S’ils le font toute l’Europe peut le faire. C’est même cela la Légalité !

Et comment l’Europe peut retrouver son « inaliénable » pouvoir régalien « d’émettre monnaie » ? Simplement en abolissant l’article 104 du traité de Maastricht, confirmé par l’article. 123 du traité de Lisbonne. Et symboliquement (pour libérer les cœurs) en « condamnant solennellement » la loi no 73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France (ou loi Pompidou-Giscard-Rothschild)….

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Auteur: Gilbert GUIGANT Le grand soir