COMMUNIQUÉ : Non à l'OTAN ! Non à la guerre !

CONSIDERANT :

PREMIÈREMENT. Que la confrontation militaire en Europe de l’Est représente une tragédie humaine douloureuse qui endeuille de nombreuses familles, cause la perte de nombreux foyers et des dommages économiques considérables pour la population tant de l’Ukraine que de la Fédération de Russie.

DEUXIÈMEMENT. que l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), qui est devenue le bras militaire du capitalisme néolibéral, s’étend en Europe et sur d’autres continents avec ses armes de destruction massive, ce qui menace la vie, la souveraineté des peuples et la paix mondiale. Incontestablement, ce fait contribue à expliquer la grave situation politico-militaire du monde actuel.

TROISIEMEMENT. Que les mesures coercitives unilatérales mises en œuvre par les puissances occidentales constituent une violation flagrante des droits humains. De même, ces mesures constituent une attaque contre les principes d’autodétermination des peuples, d’égalité entre les États et de résolution pacifique des conflits internationaux. Ces principes sont inscrits dans le droit international public et protégés par la Charte des Nations unies (ONU).

NOUS AVONS CONVENU

PREMIEREMENT. D’exprimer nos plus sincères paroles de solidarité avec les familles qui ont perdu leurs proches lors des affrontements armés en Europe de l’Est. Nous nous joignons, en tant que citoyens du monde, à la clameur de l’humanité qui exige le respect des « accords de Minsk » pour une solution pacifique et négociée au conflit entre l’OTAN et la Fédération de Russie. 

DEUXIÈMEMENT. De condamner l’expansionnisme de l’OTAN, la prolifération de ses bases militaires dans le monde et surtout d’ajouter nos voix au rejet du déploiement des armes nucléaires. De déplorer en outre de la manière la plus énergique l’utilisation par les grandes puissances de mercenaires dans la guerre et de réprouver la fourniture de matériel de guerre aux parties en conflit, car cela contribue à l’escalade du conflit.

TROISIÈMEMENT. D’exiger la cessation immédiate des mesures coercitives unilatérales contre les peuples du monde, car il s’agit d’actions néocoloniales qui violent l’ordre juridique international, touchent indistinctement la population et portent atteinte aux droits humains. 

QUATRIEMEMENT. De proposer une refonte de l’ONU afin d’en faire une institution réellement démocratique et conforme aux intérêts sacrés de l’humanité. À cet égard, il convient de souligner que la liberté d’expression et le droit à la vie sont…

La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Le grand soir