Bien qu’il soit difficile de chiffrer avec précision, on estime à au moins 3 000 le nombre de combattants ouïghours aux côtés d’Al Qaida en Syrie. En Chine, au Xinjiang, et jusqu’à Pékin, les attentats (par explosifs, couteaux, machettes) commis par des islamistes ouïghours fanatisés ont causé des centaines de morts parmi lesquels des travailleurs, policiers, promeneurs, voyageurs, convives.
Dans un tweet du 24 juin, le meurtrier du professeur Samuel Paty en appelle à Allah pour frapper la Chine, centre de « mécréants ». Entre le 12 et le 14 septembre, il échange avec un compte Instagram localisé dans la région d’Idlib en Syrie.
La Chine a proposé sans succès à la France une collaboration de leurs services secrets en Syrie.
La France, ou plutôt une partie de sa classe politique et médiatique s’active dans une campagne de fake news sur les malheurs des Ouïghours, victimes d’enfermement dans des camps de concentration, de tortures, viols, stérilisations, amputations pour prélèvements d’organes et de génocide (sic). Le bobard du débranchement des couveuses pour tuer les bébés a malheureusement déjà été utilisé au Koweït contre l’Irak de Saddam Hussein.
Bruno Guigue écrit ici que « Bachar Al-Assad avait averti les Européens que leur duplicité finirait par se retourner contre eux. L’ignorance de ce théorème n’en finit pas de présenter l’addition. »
Théophraste R. (Athée).
Auteur: Le grand soir
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