Les deux premières parties de notre enquête au long cours étaient consacrées aux appuis médiatiques et institutionnels qui ont permis à Conspiracy Watch d’occuper la place centrale en matière d’expertise sur le « phénomène complotiste ». Mais qu’en est-il du contenu produit par le site dirigé par Rudy Reichstadt ? Étroitement aligné sur l’orientation idéologique du réseau dont il a bénéficié – Printemps républicain & Cie –, Conspiracy Watch est sous la lourde influence d’un biais libéral-atlantiste. La vigilance de « l’observatoire du complotisme » s’en ressent. Les déclarations de certaines personnalités et organisations sont scrutées au microscope (plus ou moins déformant) tandis que d’autres – BHL et Caroline Fourest en tête – peuvent engendrer fausses informations et théories du complot, sans subir les critiques de l’équipe de Conspiracy Watch. « Deux poids, deux mesures » pourrait être la devise du site.
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Crédits photo/illustration en haut de page : Morgane Sabouret / Diane Lataste
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Auteur: Blast