Contenu des médias sociaux en temps de guerre : un guide d’experts sur la manière d’éviter la violence sur vos fils d’actualité

Les plateformes de médias sociaux sont une importante source d’information et de divertissement. Elles nous permettent également de rester en contact avec nos amis et notre famille. Mais les réseaux sociaux peuvent aussi devenir – et sont, souvent devenus – un environnement toxique où se propagent la désinformation, la haine et les conflits.

La plupart des gens ne peuvent pas ou ne veulent pas se passer des réseaux sociaux. Les mesures prises par les tribunaux et des organismes publics pour les réguler ou les contrôler sont en train de rattraper lentement leur retard, mais ont jusqu’à présent infructueuses. Et les entreprises de médias sociaux ont l’habitude de donner la priorité à l’interaction au détriment du bien-être social.

Les utilisateurs se retrouvent face à un dilemme : comment tirer profit des réseaux sociaux sans s’exposer à des contenus qui génèrent du stress, nuisibles ou illégaux? Cette question se pose avec encore plus d’acuité en période de tensions et de conflits mondiaux. Le conflit en Ukraine et maintenant la guerre de Gaza ont augmenté le risque de voir des images horribles et nuisibles sur son fil d’actualité.

Cet article, basé sur mes recherches sur l’actualité dans les médias sociaux, est un guide de sélection et d’édition de vos flux de médias sociaux afin de vous assurer que le contenu que vous voyez est adapté à vos besoins et n’est pas offensant ou dérangeant.

Il est organisé selon les catégories de médias sociaux les plus grands. Je ne couvre pas les nouveaux services tels que Threads, Mastodon, Post et Bluesky, bien que les principes leur soient généralement applicables. Je me suis focalisée sur l’utilisation de ces applications sur un téléphone portable, car c’est ce que font la majorité des utilisateurs, plutôt que de les utiliser sur un navigateur web. Je me concentre principalement sur le contenu vidéo.

Les réseaux sociaux peuvent être un outil puissant d’information et…

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Auteur: Megan Knight, University of Hertfordshire