Contre nous de la tyrannie, l'étendard sanglant est levé ! — Dominique MUSELET

Dans un de mes articles précédents, j’avais cité ce chercheur, en ajoutant qu’au moins, lui, personne n’oserait le traiter de complotiste parce qu’il s’en prend à la doxa du Covid. Mais c’est juste que les chiens de garde du pouvoir (Le Monde, l’Express, Libération) ont choisi une autre tactique pour le discréditer, comme il nous le confie : « …il semble que les journalistes contemporains dits de vérification des faits (fact-checking) aient adopté une tactique qui relève en réalité de la propagande : celle qui consiste non pas à discuter le contenu des analyses qu’ils prétendent pouvoir soumettre à vérification mais à contester la légitimité des personnes qui produisent ces analyses ». Libération fait du reste l’objet d’une procédure en diffamation par le professeur Jean-François Toussaint.

Et donc ces agents du pouvoir, qui crient d’autant plus fort qu’ils sont mus par la peur, non pas d’attraper le Covid, mais de subir, s’ils ne s’aplatissent pas assez, ce qu’ils font subir aux soi-disant dissidents, prétendent que Laurent Mucchielli ne connait rien aux questions sanitaires et que Pierre Chaillot usurpe son titre de fonctionnaire titulaire de l’Insee.

Le Talon de fer

Les grands médias prétendument de gauche sont tombés depuis longtemps dans les bas-fonds de la turpitude, mais il faut noter que, sans toujours descendre aussi bas, toute la presse de gauche, à de rares exceptions près, n’a rien trouvé de mieux que de reprendre comme un seul homme la communication alarmiste du gouvernement sur le Covid, quand elle n’en rajoutait pas. Quand on pense que c’était l’occasion unique de faire la paix avec les premiers de corvée qu’elle a trahis en 1982 avec le tournant de la rigueur de Mitterrand. Déjà bien malmené par l’Austérité budgétaire qui ne s’applique qu’à lui, le peuple de l’Abîme, comme l’appelle Jack London, n’en peut plus des mesures liberticides. Il a maintenant compris qu’elles n’avaient rien de sanitaire et que leur véritable but était, encore et toujours, de l’écraser sous le Talon de fer du capitalo-fascisme que Jack London a si bien décrit. Quel naufrage lamentable ! Un de plus… Cette gauche élitiste, qui a renoncé à abattre l’étendard sanglant du capitalo-fascisme, est si aveugle, si autocentrée, qu’elle attribue à sa désunion le fait que les malheureux que le système exploite sans merci se réfugient dans l’abstention ou votent pour le Rassemblement national…

Dans le Talon de fer (1908), Jack London décrit…

La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Dominique MUSELET Le grand soir