Coups d'État et multinationales : Moderna et Pfeizer n'offrent aucun remède à ces maux — Maryse Laurence LEWIS

Premier article déjà paru sur mondialisation.ca

https://www.mondialisation.ca/covid-19-hi-trumpsfeld-operation-ld333-r…

Second article :

COUPS D’ÉTAT ET MULTINATIONALES :
MODERNA ET PFIZER N’OFFRENT AUCUN REMÈDE À CES MAUX

Lorsqu’on se renseigne, à des sources plus variées qu’aux seuls médias tributaires d’entreprises privées, on sait que la plupart des interventions militaires servent à s’accaparer des richesses naturelles et des infrastructures de contrées jusque-là indépendantes. Le Coup d’État contre Jacobo Arbenz, au Guatemala, servit à restituer à la United Fruit son monopole sur les voies de chemin de fer et les plantations. La destitution de Lugo, élu par 98% des Paraguayens, fit espérer à Río Tinto Alcan un forfait hydroélectrique, plus avantageux pour la firme que pour le pays, tout en redonnant aux multinationales les meilleures terres agricoles. L’éviction d’Evo Morales, en Bolivie, entrouvrit les mines de lithium à la famille Trump-Kushner et à Bill Gates. ¹

À l’inverse, la nationalisation du pétrole, au Venezuela, fit jaillir une propagande de diffamation contre Hugo Chávez et Nicolás Maduro, puisqu’elle finance les soins de santé de toute la population, au détriment de l’oligarchie. Personne ne se surprend d’une ingérence stimulée par l’or noir. On imagine moins l’influence de groupes humanitaires. Quoi qu’il en soit, l’Argentine nous en fournit deux exemples irréfutables.

Le néocolonialisme des multinationales

Savoir qu’un laboratoire déclare 53 milliards de dollars, en une année, peut être considéré acceptable par bien des gens. Qu’une entreprise assure que nous sommes en pleine pandémie et demande un accès à la mer, un droit de pêche, et le contrôle des glaciers de Patagonie, en échange d’une livraison de doses anti-Covid ‒ en plus de recevoir le paiement des remèdes ! ‒, ce fait n’est-il pas assez explicite pour que l’on doute des intentions humanistes des promoteurs de vaccins ? ²

Comment remédier aux maux provoqués par les entreprises pharmaceutiques

En 1955, un Coup d’État mit fin au gouvernement de Juan Perón. En 1957, aucune évaluation n’était requise, en Argentine, lorsqu’on élaborait un remède. En 1959, toute législation à ce sujet s’était dissipée. Ce n’est qu’au retour d’un gouvernement peu apprécié des militaires, sous la Présidence du médecin Arturo Illia, qu’on adopta des normes visant à rendre accessibles les médicaments et à en garantir l’efficacité. Le Ministre de l’Assistance…

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Auteur: Maryse Laurence LEWIS Le grand soir