Le putschiste Juan Guaido n’étant plus reconnu par l’Union européenne comme président légitime du Venezuelâââ, il disparait des médias, victime de ce que Viktor Dedaj appelle « une rupture narrative ».
Qu’es aco ?
Les médias, unanimes, vous répètent toutes les heures pendant des mois une information capitale et puis, hop, subrepticement, on passe à autre chose dont vous serez abreuvés toutes les heures. Exemple : le trou dans la couche d’ozone. Tous les jours, toutes les heures, puis, plus rien.
Un inconscient kamikaze, administrateur du Grand Soir, a publié (décembre 2020) un livre sur le Xinjiang où il nie le « génocide » et où on lit : « … Amnesty International affirme (juillet 2018) ne pas être en mesure de vérifier les allégations sur les prélèvements d’organes […] Ce hoax court dans les médias, contamine des politiciens et épargne la communauté scientifique tandis que les organismes internationaux s’en tiennent à l’écart, demandent à voir, et quand ils ont vu, démentent ».
Dans un article (février 2021) écrit pour dégommer ce trublion, Arrêt Sur Images est obligé de confesser que « les allégations de génocide et de trafic d’organes » sont « les deux éléments les moins démontrés des informations en provenance du Xinjiang depuis deux ans, que n’utilise pas Amnesty International ».
Traduction : Pour Amnesty international et, à présent, Arrêt Sur Images, c’est du bidon.
La rupture narrative sur le génocide et le trafic d’organes est annoncée
Théophraste R. Dégonfleur de baudruches
La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Le grand soir