Chers.§/èr.e !s ami.e.?s ! dispersé.e.??s dans les territoires,
Alors que le coronavirus est en situation de montée en charge de remontada, l’angoisse dont auquel je suis sujet m’incite personnellement à vous écrire.
Si je m’adresse à vous donc en fait voilà, c’est parce que je sais que, bien que vous êtes restreints dans vos mobilités à travers les territoires, ma jauge d’amis n’a pas été impactée par la covid, et que chacun d’entre vous coche toutes les cases et est considéré par moi comme l’appartement témoin de nos relations.
Loin de moi l’idée de vouloir vous faire sortir de votre zone de confort, mais vous savez que je suis l’un des sentinels pour la défense de la langue française.
Je vous adresse donc dans cette Newsletter by moi-même® quelques éléments du langage français postmoderne (ou, si vous préférez, du français anthropocène), qui vous permettront d’être en capacité de pouvoir maîtriser cette langue.
Pardonnez cette note personnelle, mais je tiens à vous signaler que je suis en situation de bonne santé et que ma femme est passée en situation d’enseignement en présentiel et ne subit donc plus les affres de l’enseignement en mode dégradé.
Espérant que vous êtes en capacité de pouvoir avoir quelques minutes à me consacrer, voici donc un panel de mon recensement d’expressions entendues à la radio, qui donnent une large place aux redondances et pléonasmes et qui, je l’espère, ne vous donneront pas trop le tournis.
Cette vague de poussée de racisme
Ce n’est pas simplement une simple injonction
C’est illégal au niveau de la loi
Il est complètement inimaginable d’imaginer que le Tour de France ait lieu
Il est inaudible d’entendre ça pour les policiers
Il va être nécessaire de devoir séparer…
Des milliers de manifestants se sont agenouillés genoux à terre
Je continue à faire du télétravail à distance
ils s’autocensurent d’eux-mêmes
c’est sain d’avoir cette introspection personnelle
Il peut y avoir un milieu entre les deux
le processus n’est pas fini et il ne le sera pas tant qu’il ne sera pas terminé
beaucoup d’invectives verbales
la déforestation des forêts
ils s’enthousiasmaient les uns les autres
ce sont des planètes sur lesquelles on peut marcher dessus … elles peuvent coexister ensemble
vous avez tout un tas de jeux ludiques
chaque branche est presque indépendante les unes des autres
ce besoin d’envie de jouer
toutes ces précautions ne sont pas réalisables dans la réalité
quand ça a commencé à interroger le questionnement…
La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: PATRICK Le grand soir