Crise agricole : en coulisse, le gouvernement sacrifie l’environnement et les paysans

Au lendemain du mouvement de contestation des agriculteurs et agricultrices, les mobilisations sont moins visibles mais la crise agricole et le mal-être paysan n’ont pas disparu.

Le gouvernement s’est engagé à proposer des mesures fortes pour protéger les agriculteurs mais le constat est déjà amer et sans équivoque : l’environnement et les paysans et paysannes sont sacrifié·es au profit d’une industrialisation et d’une libéralisation toujours plus poussée de l’agriculture, souhaitées par le gouvernement français et l’agro-industrie. 

1. Depuis la crise agricole : sacrifices, reculs et renoncements.

2. Une autre forme d’agriculture est possible !

3. Face à ces reculs majeurs, comment agir?

 

Depuis la crise agricole : sacrifices, reculs et renoncements.

En catimini, le gouvernement détricote tous les acquis environnementaux de façon catastrophique et plonge les agriculteurs, les agricultrices et les consommateurs et consommatrices dans un futur insoutenable. Voici quelques exemples de cette politique agricole à contre-courant :

Politique agricole commune (PAC) : l’environnement et l’agriculture sacrifiés en Europe

Alors que la PAC est l’une des plus importantes politiques communes de l’Union européenne, une procédure d’urgence a été votée début avril 2024, entraînant la suppression définitive des principales exigences visant à protéger l’environnement en agriculture. 

Ce détricotage de la PAC, soutenu par le ministre de l’Agriculture français, Marc Fesneau, est aux antipodes des enjeux climatiques et met sérieusement en péril…

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Auteur: Greenpeace France