Crise du logement : les sacrifiés du capitalisme

Alors que Macron déclarait en 2017 qu’il n’y aurait plus personne « dans les rues ou dans les bois d’ici la fin de l’année », le nombre de personnes sans-abri ne cesse de croître avec près de 300 000 hommes, femmes et enfants sans domicile fixe. Dans le même temps, on dénombre plus de 3 millions de logements vacants en France.

Dans ce nouvel édito, Cemil explique l’intérêt qu’a le pouvoir à laisser une telle situation se dégrader et estime par ailleurs que cette condition dramatique résulte de notre système économique : le capitalisme.

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Auteur: Le Média