Le dérèglement climatique associé au dépassement croissant de nos ressources met en avant la raréfaction criante de l’eau à la surface du globe. Que faire face au manque d’infrastructures de son traitement, impliquant des zones entières sans aucune goutte d’eau potable ? Quels dispositifs peuvent y remédier de manière autonome ? Tour d’horizons de l’avenir du traitement de l’eau.
Les atouts des générateurs d’eau potable en période de dérèglement climatique dans certaines zones arides ou en voie de désertification sont nombreux. Dans le sud de la France, des Pyrénées Orientales à la Provence-Alpes Cotes d’Azur, en parallèle du projet « or bleu » de la Région Sud, des dispositifs de ce type se multiplient avec l’aide de l’État.
Bien qu’utiles, sont-ils incontournables pour contrer la pénurie croissante d’eau au risque que certains industriels puissent les marchandiser à l’extrême, privatisant un peu plus l’eau censée rester un bien communs ? Une problématique qui en viendrait à ternir le tableau des solutions en brouillant les objectifs écologiques de départ au profit du lucratif. En attendant, ces dernières continuent d’être étudiées, dont voici un tour d’horizon.
Générer de l’eau potable par désalinisation
Les procédés de désalinisation constitent les premières technologies de transformation et de création d’eau dans les années 70-80. Polluantes et encore coûteuses, ces infrastructures sont largement utilisées dans le golfe persique. Mais, elles se démocratisent désormais au Maghreb : en Tunisie, par exemple, où elles ne cessent de voir leur technologie évoluer avec plus de recours à de l’énergie solaire.

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Auteur: H.