Dimanche prochain, votez Lutte ouvrière, le camp des travailleurs !

À quelques jours des législatives, un point fait l’unanimité dans le monde ouvrier : Macron, qui a passé son temps à nous mépriser et nous piétiner, doit être rejeté. Mais de quelle façon le chasser ? Là-dessus le monde du travail se divise. 

Il y a ceux qui sont prêts à voter pour le Rassemblement national. Ecœurés par tous les partis qui se sont succédé au pouvoir, ils croient que Bardella donnera un coup de pied dans la fourmilière. Erreur : plus il se rapproche du pouvoir, plus il s’inscrit dans la continuité de tous les politiciens qui l’ont précédé. 

Ne vient-il pas de nouer une alliance avec une partie de la droite, avec Ciotti qui veut encore repousser l’âge de la retraite ? N’est-il pas déjà en train d’expliquer, qu’il ne pourra pas tout faire, parce qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses ? 

Le coup des caisses vides, c’est le discours mensonger de tous les politiciens pour justifier leurs reculades : ils omettent de dire que les caisses du grand patronat débordent et que toutes les richesses, que nous produisons, sont largement suffisantes pour assurer un minimum de 2000 € de salaire, une retraite à 60 ans et des créations d’emplois pour améliorer nos conditions de travail. 

Même sur le terrain des incivilités et de la délinquance, le RN ne changera rien. Car pour cela, il faudrait arrêter avec cette politique d’abandon des quartiers populaires et de sa jeunesse. Il faudrait en finir avec la précarité et les inégalités ahurissantes. C’est-à-dire qu’il faudrait s’en prendre à la rapacité de la grande bourgeoisie, à ceux qui nous exploitent, licencient et jettent des millions de travailleurs dans la misère. 

Pour compenser ses reniements, Bardella s’attaquera aux travailleurs étrangers ou d’origine étrangère, au nom de la préférence nationale. Mais croire que les économies faites sur le dos des étrangers et des sans-papiers profiteront aux classes populaires est de…

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