Dossier : Les 1 001 destins de la double hélice d’ADN

En 1953, James Watson et Francis Crick publiaient leur légendaire article sur la structure de l’ADN, la fameuse double hélice.

Ces recherches ont marqué l’histoire de la biologie, et bien au-delà, l’histoire des êtres vivants, nous offrant une fenêtre sur la variété des formes de vie sur Terre et leur évolution, mais nous donnant aussi les moyens d’intervenir intentionnellement dans le code de programmation du vivant.

Soixante-dix ans plus tard, les applications de cette découverte ont complètement changé la société. Voici une sélection d’applications très différentes de la génétique et de la génomique, qui permet de mieux en comprendre les enjeux.

Image en carte à gratter de Bill Sanderson, 1990

La famille de Laocoon en proie à des doubles hélices d’ADN.
Wellcome Trust Limited 1990, CC BY

Soixante-dix ans après la découverte de la structure de l’ADN, on sait modifier les génomes humains. Zooms sur trois enjeux majeurs : héritabilité, régulation, équité dans l’accès aux soins.

Poissons, planctons, méduses, et autres espèces colorées, sur fond noir

La biodiversité marine est toujours méconnue. Ici, des espèces d’eaux intermédiaires, qui pourraient être affectées par les activités minières dans les abysses.
E. Goetze, K. Peijnenburg, D. Perrine, B. Takenaka, J. Kaneko, S. Haddock, J. Drazen, B. Robison, Danté Fenolio, avec l’autorisation de l’Université de Hawaii.)

L’ADN environnemental révèle que la biodiversité des grands fonds est bien plus importante que ce que l’on pensait, avec plus d’un tiers des espèces encore inconnues.

Double hélice en forme de 53

La double hélice d’ADN a été découverte en 1953, il y a 70 ans. Depuis, on sait fabriquer de l’ADN à partir de ses briques de base, et même créer de nouveaux génomes (de petites tailles, mais quand même).
Peter Artymiuk, Wellcome Trust Images,

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Auteur: Elsa Couderc, Cheffe de rubrique Science + Technologie, The Conversation France