En Finir avec le capitalisme avant qu’il ne détruise tout

Le problème du foot, c’est ce que les oligarques, les banquiers, les investisseurs, les propriétaires de club en ont fait. Grâce aux agents et en bout de chaine aux joueurs. Du spectacle. Du rutilant. Du sans âme. Du huis clos. Du combat de gladiateurs. De la pornographie. Voilà, c’est ça. Le coté répétitif et débandant d’un match vendu par les pubards de Canal comme un must absolu. Avec des bruits de foule enregistrés. Et des caméras partout.

Va … Bolloré… On retrouve toujours les mêmes aux manettes. Je veux dire, les mêmes profils. Des multimilliardaires, des magnats de Wall Street, des Jeff Bezos et des Bernard Arnault.

Et en foot, comme dans la vie, on a trop laissé faire. On s’est laissé berner par leur propagande. Nous les prolétaires du ballon et du cash-flow.

Un des problèmes du capitalisme, c’est qu’il est devenu financier, qu’il a oublié l’industrie et les ouvriers. Un autre problème du capitalisme, c’est que nos ressources ne sont pas illimitées. Et puis, on le voit bien maintenant, le capitalisme et sa course au profit, ont pourri la planète.

Malgré les promesses lancinantes, plus rien n’est régulé. Et les richesses accumulées penchent toujours du même côté.

En France en 2021, grâce aux réformes de notre bienaimé président, le CICE, le retrait de l’ISF et tout le package… grâce à celui qui nous fait croire qu’il est supporter de l’OM alors que bon, vous l’imaginez dans le virage Nord… Grâce aux emmarcheurs et à leur délire de startup nation, nous sommes arrivés à un stade très élaboré du capitalisme. Et très vicieux. Une excroissance qui veut que, malgré la pandémie et les morts, les riches soient de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres. Tout cela sous nos yeux endormis.

D’un côté un million de pauvres en plus, on a allègrement franchi la barre des dix millions en 2021. Et en face les 10% les plus riches ont gratté 25 milliards. Ni vu, ni connu, je t’embrouille. Passons… Ces histoires de riches, de pauvres, c’est toujours la même rengaine.

C’est d’un manichéisme !

Peut-être mais l’écart se creuse.

Peut-être, mais au fond on s’en fout, car on s’est habitué.

Le foot nous endort. Le basket aussi. Et les séries sur Netflix. Vous avez vu le Serpent ? Et la reine des échecs ? Et Lupin avec Omar Sy ?

Est-ce que ça va pouvoir durer ? Est-ce que le peuple va continuer à regarder docilement les fortunes gonfler chaque année dans le classement Forbes ? va continuer à accepter le spectacle avilissant des nantis paradant…

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Auteur: Blast info