En octobre 2019, Victor et Barth, étudiants à Nanterre et militants à l’UNEF, participaient à une action en faveur du droit d’étudier et contre la sélection à l’université.
L’action pacifiste, qui visait à rentrer dans une commission où ils devaient normalement siéger pour y défendre les étudiants, échoue. Victor et Barth se retrouvent face aux vigiles de l’université, qui sous l’ordre de l’ancienne direction, les évacuent violemment.
Mais la répression ne s’arrête pas là, elle continue plusieurs mois après. Après un procès en février, suite à la plainte du chef de la sécurité de leur fac pour « violences », ils risquent, avec deux autres étudiants syndiqués, jusqu’à 4 mois de sursis lors du délibéré ce 15 mars.
Pour les quatres de Nanterre : Victor, Ayoub, Barth et Selim, il s’agit d’un acharnement politique et répressif contre des militants déterminés à porter un autre modèle que celui du gouvernement. Ils appellent à un rassemblement devant le Tribunal, le jour du délibéré pour exiger leur relaxe et réaffirmer que « militer pour le droit d’étudier n’est pas un crime ».
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Auteur: Le Média