Experts en négligence criminelle — Maryse Laurence LEWIS

Que vous soyez « pour » ou « contre » les vaccins liés au Covid, un fait demeure : en science, on doit considérer le plus d’éventualités possibles. Lorsque certains sites ou groupes s’inquiètent du nombre d’individus âgés entre 19 et 35 ans qui souffrent de problèmes respiratoires, ou du nombre de décès parmi les sportifs professionnels, on ne devrait pas nier cette possibilité sans procéder à plus d’investigation. Que le nombre d’athlètes succombant à une crise cardiaque soit exagéré ou non, que les cas pointés soient sans rapport avec les vaccins, tout soupçon à propos d’un traitement devrait être pris en considération. S’empresser de prétendre qu’il s’agit de fausses nouvelles, cette attitude n’a rien de scientifique. Si des études confirment les effets nocifs des vaccins, cette lenteur à envisager les risques devra être jugée criminelle.

Est-il raisonnable de suspecter un lien entre vaccination et le système cardio-vasculaire ?

Les ministres et journalistes honnêtes devraient lire les études publiées par des médecins et biologistes. Comme la plupart ne s’en donneront pas la peine, voici une hypothèse susceptible d’expliquer le nombre inhabituel de sportifs et de jeunes victimes de problèmes cardio-respiratoires.

Des glandes, situées dans nos reins, sécrètent une hormone. Elle aide à réguler la tension artérielle et le rythme cardiaque. Une autre hormone, provenant des glandes surrénales, dose la quantité de sodium et de potassium dans l’urine. Elle agit aussi sur la pression sanguine.

Lorsqu’on injecte la protéine qui compose l’enveloppe d’un coronavirus, la fameuse protéine spike que nos cellules immunitaires doivent neutraliser, on ne peut pas, actuellement, contrôler si cette protéine sera plus ou moins sécrétée dans notre organisme. Des études démontrent que lorsque la protéine est produite en excès, la spike virale interagit avec le système hormonal qui règle la tension artérielle et le tonus des vaisseaux sanguins. Ce dérèglement peut entraîner une inflammation, une hypercoagulation du sang, des lésions d’organes comme les poumons, en plus des troubles respiratoires. Même la composition des microorganismes présents dans nos intestins peut en être altérée. Voilà ce qu’on nomme scientifiquement le système rénine angiotensine-aldostérone, du nom des deux hormones impliquées et « rénine » pour rein.¹

Alors, lorsque des journalistes ignorants nient, sans plus d’arguments, la possibilité que des sportifs professionnels ou des jeunes, en bonne…

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Auteur: Maryse Laurence LEWIS Le grand soir