Exposé sur l'analyse des documents relatifs aux activités militaires et biologiques américaines en Ukraine — Ministère de la Défense de la Fédération de Russie

04.08.2022 (15:45)

Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie continue d’analyser les activités militaires et biologiques des États-Unis et de leurs alliés en Ukraine et ailleurs dans le monde à la lumière des nouvelles informations obtenues dans les territoires libérés.

Les travaux se poursuivent sur l’étude d’échantillons biologiques provenant de soldats ukrainiens qui ont volontairement déposé les armes. Comme nous l’avons indiqué précédemment, de fortes concentrations d’antibiotiques ont été trouvées dans leur sang, ainsi que des marqueurs immunologiques indiquant une exposition au syndrome rénal et aux agents pathogènes du Nil occidental, qui étaient étudiés par le Pentagone dans le cadre des projets ukrainiens UP-4 et UP-8.

Il convient d’accorder une attention particulière à la découverte de stupéfiants, notamment des opioïdes tels que la méthadone, la codepsine, le codeterp, ainsi que des substances de type éphédrine : t-phedrine et tri-phedrine, sur des positions abandonnées par le personnel militaire ukrainien.

La méthadone, drogue de synthèse, est utilisée dans le traitement de la toxicomanie comme traitement de substitution.

Rappelons qu’en Allemagne nazie, pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment entre 1943 et 1945, des comprimés de pervitine, un dérivé de l’amphétamine, étaient administrés aux soldats afin de réduire la tension psycho-émotionnelle.

Le médicament a également été utilisé en masse par les troupes américaines pendant les guerres de Corée et du Vietnam.

L’un des effets secondaires de ces drogues addictives est principalement l’agressivité excessive, ce qui explique l’extrême brutalité dont font preuve certains militaires ukrainiens à l’encontre des civils et le bombardement des villes du Donbas.

Compte tenu des informations disponibles sur l’utilisation de stimulants puissants par le personnel de l’AFU, nous examinons les échantillons entrants pour détecter la présence de cette classe de composés. Leurs traces restent longtemps dans les organes et les tissus humains (par exemple, jusqu’à six mois dans les cheveux).

Les résultats des analyses seront remis à la commission d’enquête et utilisés comme preuves dans les enquêtes sur les crimes de guerre commis par le régime de Kiev.

Il y a quelques semaines, lors d’une opération militaire spéciale, le village de Rubezhnoe, dans la République populaire de Lougansk, a été libéré. Des documents ont été trouvés dans le laboratoire du centre médical « Pharmbiotest »…

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Auteur: Ministère de la Défense de la Fédération de Russie Le grand soir