Capture d’écran montrant le visage de la victime de l’agression lesbophobe commise en marge du festival des fanfares de Montpellier, extrait d’un témoignage rendu public sur son compte Instagram.
Après les agressions néo-nazies perpétrées samedi 1er juin au festival des Fanfares de Montpellier, l’association organisatrice invite d’éventuels témoins à se rapprocher de la police pour transmettre infos photos et vidéos. Entre temps, un nouveau témoignage a mis en lumière une autre attaque lesbophobe en marge de la fête.
Un appel à transmettre infos, vidéos et photos à la police
On vous en parlait déjà le 3 juin. Samedi 1er juin, pendant le festival montpelliérain des fanfares, un syndicaliste montpelliérain a été violemment pris à parti et envoyé aux urgences par des militants néo-nazis.
Le communiqué relatant les faits évoque également des « lancers de projectiles sur un stand tenu par des femmes voilées, [un] téléphone cassé d’une passante qui filmait » et « plus tôt dans la journée, une personne transgenre et syndicaliste menacée, prise à partie et filmée par le même groupe au parc Méric ». Un autre témoin indique avoir vu quatre individus se masquer non loin de la Place Krasucki quelques minutes avant les faits.
Depuis l’association en charge de l’organisation du festival, l’Arc-en-ciel des Faubourgs, a à son tour publié un communiqué sur les événements. Après y avoir dénoncé des « agressions à caractère raciste [qui] affectent profondément l’ensemble des membres de notre association », et avoir rappeler un « attachement aux valeurs de tolérance et de respect mutuel, [une] volonté d’accueillir toutes les diversités, qu’elles soient musicales, culturelles, sociales ou individuelles », l’association lance un appel à transmettre des informations aux services de police : « Nous invitons toute personne en mesure de fournir des…
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Auteur: Le Poing