[Genève] Appel à rejoindre le bloc révolutionnaire du 1er Mai

La fureur et les larmes, le fracas des armes. Le 1er mai de cette année s’ouvre dans une période de crise dramatique aux quatres coins du globe. Les gouvernants ont même inventé le concept de « polycrise » pour désigner l’amoncellement d’ « externalités négatives » et de problèmes à résoudre.
Les crises se succèdent et elles n’épargnent pas la Suisse. Le 19 mars 2023, Credit Suisse disparaissait sous les yeux ébahis de de la planète entière. A Genève, l’annonce d’un bonus record laisse un goût amer car il provient exclusivement du secteur du négoces en matières premières qui a réalisé des profits records malgré son rôle délétère dans le dérèglement climatique.

Ils disent qu’ils n’y peuvent rien, que c’est la faute des immigrés ou des pays concurrents sur la scène économique mondiale. La vague droitière en Europe et dans le monde est la sécrétion obscène d’un système basé sur la compétition et l’exploitation. Les fractions ultranationalistes des classes dominantes arrive avec des promesses de protection alors que l’on sait très bien quels intérêts elles défendent. Pour arriver à leurs fins, ils stigmatisent les personnes marginalisées, déclarent la « bataille culturelle » et prennent le contrôle des médias pour y diffuser leurs idées rétrogrades et réactionnaires.

A l’international, les néo-nationalistes admirent leurs homologues du gouvernement israélien et la férocité meurtrière dont ils font preuve à Gaza. De la Nakba de 1948 à aujourd’hui, l’impérialisme a d’abord soutenu l’installation d’une colonie de peuplement, puis nié le droit des palestiniens à l’autodétermination.

A l’international, les néo-nationalistes admirent leurs homologues du gouvernement israélien et la férocité meurtrière dont ils font preuve à Gaza. De la Nakba de 1948 à aujourd’hui, l’impérialisme a d’abord soutenu l’installation d’une colonie de peuplement, puis nié…

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