En Charente-Maritime comme ailleurs, la fédération départementale de chasseurs a mobilisé ses adhérents : depuis plusieurs semaines, les pancartes fleurissent le long des départementales et à la sortie des villes : “Vive la chasse !” “sauve un chasseur, mange un écolo”, “merci Agnès” ou encore “non à l’intolérance !” (oui). Ils sont allés jusqu’à déployer une immense banderole sur le Fort Boyard, ce qui ne peut se faire que grâce à des moyens conséquents et un soutien passif des autorités. Pourquoi les chasseurs se mobilisent-ils en pleine canicule ? N’ont-ils pas mieux à faire ?
Sud Ouest, journal conservateur régional, a démarré son article du 29 juin sur la mobilisation des chasseurs de façon bien positive : “Les chasseurs savent défendre leurs intérêts et ils le montrent ces derniers temps notamment face au projet du ministère de la Transition écologique d’un moratoire sur la chasse des oiseaux migrateurs.” Comme les agriculteurs de la FNSEA, les chasseurs font partie de ces gens qui ont le droit de taguer, d’afficher sur les ronds-points, de dégrader… sans que la police n’intervienne violemment comme elle le fait pour d’autres groupes militants.
En Charente-Maritime comme ailleurs, la fédération de chasseurs a mobilisé ses adhérents : depuis plusieurs semaines, les pancartes fleurissent le long des départementales et à la sortie des villes : “Vive la chasse !” “sauve un chasseur, mange un écolo”, “merci Agnès” ou encore “non à l’intolérance !” (oui). Comme les agriculteurs de la FNSEA, les chasseurs font partie de ces gens qui ont le droit de taguer, d’afficher sur les ronds-points, de dégrader… sans que la police n’intervienne violemment comme elle le fait pour d’autres groupes militants.
Presque toute la classe politique se mobilise d’ailleurs à leurs côtés, en ces jours de canicule historique où l’on pourrait croire que ces…
Auteur: Rédaction