Greenpeace dénonce le « calvaire judiciaire » de ses militants

La fermeture symbolique du ministère de la Transition écologique va coûter cher aux militants de Greenpeace. Après leur action menée lundi 6 novembre devant le ministère, pour dénoncer la « trahison écologique » du gouvernement, sept personnes ont été interpellées, placées en garde à vue durant 48 heures et déférées au tribunal de Paris.
L’ONG a dénoncé dans un communiqué de presse un « calvaire judiciaire » et plusieurs obstacles aux droits de la défense. En effet, leurs droits ne leur auraient pas été notifiés en (…)

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