Le capitalisme punitif, avec son complice de toujours l’Etat, nous fait subir une canicule reccord.
Et la situation est destinée à s’aggraver encore vu que le système en place continue de plus belle, et que la fameuse adaptation se fait par petites touches au ralenti.
Les effets des catastrophes avancent bien plus vite que les adaptations à reculons.
Impossible de suivre le rythme accéléré des désastres imposés par la civilisation industrielle et ses dirigeants. Notre avenir c’est soit la catastrophes généralisée et ses nombreuses destructions et morts, soit la rupture radicale avec le modèle en place et les révoltes. Plus on se rebelle tôt et fort, plus on pourra limiter l’ampleur des désastres futures et plus on pourra agir pour supporter les désastres déjà là et ceux inévitables à venir (du fait de l’intertie du climat et du stock de gaz à effet de serre déjà largués)
A chaque canicule, on retrouve les mêmes problèmes pour les habitations fours solaires, les SDF, les prisonniers, les travailleurs…. Pas grand chose ne bouge, l’Etat essaie juste de réagir a minima pour limiter le nombre de morts, sans rien changer de structurel.
La civilisation industrielle nous expose à la violence extrême et à l’insécurité des catastophes écologiques et climatiques qu’elle fabrique. Cette violence et cette insécurité structurelles dépassent (ou vont dépasser) la forme particulière de confort et de sécurité vendue par la civivilsation industrielle à une minorité d’humains. La civilisation industrielle n’est pas soutenable ni durable ni réformable, et elle persiste au prix de la destruction violente d’un nombre croissant de vies humaines et non-humaines, jusqu’à rendre la planète inhabitable pour la plupart des espèces.
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