S’il est une chose que les peuples refusent de tout temps, c’est la guerre et ses cortèges sinistres de massacres et de destructions. Les peuples veulent la paix. Mais les classes dirigeantes et leurs blocs bourgeois veulent la guerre, ou veulent le modèle de société qui entretient la guerre ordinaire et mène à la guerre militaire généralisée, ce qui revient au même.
Il nous reste à agir en force pour une paix réelle, juste et soutenable, une paix forcément loin du militarisme, du capitalisme, du technologisme et de l’étatisme portés par le régime et les autres partis dits de gouvernement.
On veut la paix, donc agissons en nombre pour que ce souhait devienne réalité et ne reste pas un voeux pieux piétiné par la flicaille, les bombes, les drones militaires et la propagande sur fond de quête suicidaire à la Croissance indispensable à la guerre économique du quotidien.
Dans un passé pas si vieux, prolétaires ou non, pacifistes, antimilitaristes, anticolonialistes, internationalistes et autres féministes/anticapitalistes/révolutionnaires/autonomes ont su multiplier alliances et formes d’actions.
Dans tous les sens du terme, le mot « désarmement » convient bien pour faire face à la situation, car on sait que perturber un salon au Bourget où les flics attendront en nombre de pied ferme ne suffira pas.
Face aux remontées militaristes, nationalistes et néofascistes nauséabondes : Grève, blocage et sabotage ! Des casernes scolaires aux lieux de travail : Désertion et sédition ! Partout et tout le temps. Rassurons-nous, la rébellion et ses pratiques offensives s’apprennent plus vite que l’obéissance, la marche au pas cadencé et la soumission.
Contre l’économie de guerre qui va avec la guerre économique et la prolonge, et inversement : guérilla contre l’Economie !
« Guerre à la guerre » : déferlons contre le salon du Bourget
Ce salon a lieu tous les deux ans, au nord de Paris. Il a reçu 400.000…
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