Kidnapping, assassinat et fusillade à Londres : les plans de guerre secrets de la CIA contre WikiLeaks. (Yahoo News) — Zach Dorfman, Sean D. Naylor et Michael Isikoff

Note du traducteur : cet article doit être pris avec de grosses pincettes et faire l’objet d’une lecture entre les lignes car il s’agit, avant tout, d’une version racontée par des psychopathes. De nombreuses inexactitudes et omissions émaillent le récit – certaines relevées par le traducteur – et semblent indiquer que cet article est une opération de contre-feu pour tenter de « limiter les dégâts » et redistribuer les beaux-rôles dans une affaire qui part en vrille pour l’accusation mais qui réussit à perdurer grâce à une « justice » britannique et la complicité (par leur silence) des grands médias.

Par exemple, que le témoin clé de l’accusation contre Julian Assange a admis avoir menti – révélation publiée par le site islandais Stundin, le 26 juin 2021.

De même, le rôle joué par les service secrets russes relève de la légende urbaine. D’ailleurs, l’un des auteurs de cet article, Michael Isikoff, a lui-même beaucoup contribué à l’opération fake news du « Russiagate ». CQFD ?

La simple omission que Julian Assange est détenu en préventif dans une prison de Haute Sécurité, en isolement, est en soi révélateur.

Les Mutins de Pangée publieront bientôt le documentaire à ne pas manquer « Hacking Justice« , accompagné d’un livre costaud. Qu’on se le dise.


En 2017, alors que Julian Assange entamait sa cinquième année de détention dans l’ambassade d’Équateur à Londres, la CIA a comploté pour kidnapper le fondateur de WikiLeaks, suscitant un débat animé parmi les responsables de l’administration Trump sur la légalité et l’aspect pratique d’une telle opération.

Certains hauts responsables au sein de la CIA et de l’administration Trump ont même discuté de l’assassinat d’Assange, allant jusqu’à demander des « ébauches  » ou des  » options  » sur la façon de l’assassiner. Des discussions sur l’enlèvement ou le meurtre d’Assange ont eu lieu « aux plus hauts niveaux » de l’administration Trump, a déclaré un ancien haut responsable du contre-espionnage. « Il ne semblait y avoir aucune limite ».

Ces conversations faisaient partie d’une campagne sans précédent de la CIA dirigée contre WikiLeaks et son fondateur. Les plans à plusieurs volets de l’agence comprenaient également l’espionnage intensif des associés de WikiLeaks, le développement de la discorde entre les membres du groupe et le vol de leurs appareils électroniques.

Alors qu’Assange était dans le collimateur des agences de renseignement américaines depuis des années, ces plans de guerre…

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Auteur: Zach Dorfman, Sean D. Naylor et Michael Isikoff Le grand soir