La fiancée de Julian Assange s'entretient avec Revolver pour dévoiler la stratégie de l'Etat Profond visant à supprimer notre Premier Amendement — Revolver News

Pendant des années, la classe oligarchique étasunienne s’est engraissée en trahissant le pays qu’elle gouverne. Ils ont externalisé la richesse et le bien-être du pays vers la Chine. Ils ont entraîné le pays dans une guerre désastreuse après l’autre – des guerres qui n’ont rien fait pour rendre les EU plus sûrs, mais qui ont beaucoup enrichi les entreprises de défense qui les fournissaient. Ils se sont alliés à Big Tech et à Big Finance pour éroder progressivement les droits fondamentaux que les Américains considéraient autrefois comme acquis.

Pour la « communauté du renseignement », mal nommée et capturée par les oligarques, le rédacteur en chef de Wikileaks et militant de la liberté d’expression emprisonné Julian Assange reste l’ennemi public numéro un.

En tant que responsable de Wikileaks, Assange a publié des documents ayant fait l’objet de fuites de la part de l’ancien soldat de l’armée Chelsea Manning (né Bradley Manning). Manning a déjà été libéré, mais Assange est un homme traqué depuis. Pendant sept ans, Assange s’est réfugié à l’ambassade équatorienne à Londres pour éviter une extradition injuste sur la base d’accusations forgées de toutes pièces.

En 2016, Wikileaks a publié des courriels du DNC et de John Podesta. Ces courriels ont révélé comment le Parti démocrate a truqué la course aux primaires pour Hillary Clinton. Après le rejet inattendu d’Hillary Clinton par un public averti, la colère de Washington contre Assange s’est exacerbée. Assange s’est vu attribuer un rôle clé dans la théorie du complot du « Russiagate » qui accusait la Russie de faire gagner Trump aux élections de 2016. Au printemps 2019, l’Équateur a révoqué l’asile d’Assange, et il a été traîné hors de l’ambassade pour faire face à l’extradition de plus d’une douzaine d’accusations d’espionnage aux États-Unis.

Mais une autre possibilité existe. Le président Trump pourrait faire un pied de nez à l’obsession de l’État profond de persécuter Assange depuis une décennie et lui accorder la grâce qu’il mérite. Revolver a justement préconisé une telle…

Auteur: Revolver News Le grand soir
La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info