Pour l’intérêt de la raison, il faut garder à l’esprit que tous les documents attestant d’une ou plusieurs injection (s) délivrés par les autorités sanitaires en tant que sauf-conduit sont des faux grossiers et ne peuvent en aucun cas être considérés comme une quelques preuve d’une immunisation contre le SARS-COV-2.
De ce fait, l’adaptation du droit visant à criminaliser ce qui est considéré comme un faux passe sanitaire est non seulement une aberration totale mais une absurdité, puisque dans ce cas de figure précis, c’est l’Etat qui devient de jure et de facto le premier faussaire avec une position de monopole.
En 2021, les États ne sont plus que des appareils d’exécution et n’ont plus aucune forme de souveraineté. Ce sont au mieux des outils de contrôle sociétal disposant d’un outil militaire à la guise d’instances supra-nationales et même non-étatiques. Le prétexte COVID a mis à nu l’obsolescence de l’État-nation et a confirmé la montée en puissance d’autres pôles de puissances disposant d’un contrôle sur les ressources monétaires, financières et les commodités de base au niveau mondial.
Une violation de la loi pour un faux passe sanitaire n’est pas applicable pour un individu. C’est le fait de l’État et à ce titre c’est à lui d’assumer la responsabilité ou plutôt l’irresponsabilité de son acte. Poursuivre des individus pour un supposé faux passe sanitaire qui n’existe pas est d’une absurdité digne d’Ubu. C’est même un contre-sens. Mais dans le monde dans lequel nous vivons, l’absurde est érigé au rang d’un culte au service de la nouvelle relique pro-vaccinal (rappel sanitaire : les injections biochimiques anti-COVID ne sont pas, au sens strict, de vrais vaccins).
Des fonds souverains investissent dans ces vaccins pour des raisons économiques comme d’autres pays attirent des étudiants et leur donnent de vrais faux diplômes pour gonfler leur PIB ou affûter leur “Soft Power”. Cependant, des grosses multinationales comme Pfizer ont des enjeux infiniment plus grands. Ils préconisent déjà un abonnement vaccinal trimestriel (et bientôt bimensuel) sous peine d’annulation du sauf-conduit piège à gogos. La fin justifie toujours les moyens.
Affirmer quelques constats est passible d’une accusation de complotisme. Un terme fourre-tout que n’importe qui peut brandir de nos jours. Personne n’y échappe sauf si on est Bill Gates, Klaus Schwab, George Soros ou d’autres magnifiques philanthropes qui ne pensent qu’au bien-être et le bonheur de…
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Auteur: Strategika 51 Le grand soir