La hargne obsessionnelle, pro-israélienne et pro-étatsunienne de Tristan Mendès France — Maxime VIVAS

En 2011, dans un article dont ces deux enfumeurs recommandent encore aujourd’hui la lecture, une « journaliste » décrivit le site Le Grand Soir comme un site complotiste et elle accusa ses administrateurs de publier des « articles fascistes ». J’avais contacté alors une journaliste amie (qui avait essayé peu avant de rejoindre l’équipe du GS). Elle avait travaillé dans le même fanzine que la signataire de l’article. Je lui ai demandé d’intervenir. Elle refusa. Et pour cause : elle était, sous pseudo, l’auteur de l’article crapuleux, un spécimen parfait de racontars complotistes qui complaisent toujours à ses potes, les duettistes Reichstadt, Mendès France.

Depuis cet article, quelques abrutis « antifafs » et les défenseurs, quoi qu’il fasse, de l’Etat d’Israël nous mordent les talons avant de fuir et d’aller pleurnicher dans leur niche quand vient la riposte.

Reichstadt, Mendès France sont deux défenseurs des gouvernements d’Israël, quels qu’ils soient, même si on y trouve des ministres fascistes et des racistes pour qui les Palestiniens sont des sous-hommes.

Sur les discours des fanatiques ultra-orthodoxes juifs qui préconisent l’éradication des Palestiniens, on ne les entend guère.
Sur les soldats israéliens qui tirent même sur des enfants, ils se taisent.
Sur les missiles israéliens qui rasent des immeubles avec tous les malheureux qui sont dedans, silence.
Au mieux, un murmure.

Mais si vous suggérez avec modération que c’est mal de déraciner avec des bulldozers militaires des oliviers millénaires dans des champs sur lesquels des jeunes colons ukrainiens veulent s’installer en chassant les ancestraux propriétaires palestiniens, Mendès et Reichstadt vous inscrivent dans leur cahier commun où sont répertoriées leurs cibles. Je répète : leurs cibles.

En France, Reichstadt, Mendès France font partie des plus efficaces propagateurs de l’antisémitisme.

Mendès France avait craché naguère une vilénie contre moi au micro de France Inter où son job est de repérer et de dénoncer les complotistes. Pas celui de repérer les fachos, hein ! Il ne s’agit pas de déplaire à Tel-Aviv.

Mendès France a en effet obtenu de la radio publique une rubrique peu reluisante, un espace pour cafter. C’est une balance. Ce n’est pas quelqu’un qui signale bénévolement une injustice, un mensonge, un crime, comme on le fait ici, en journalistes. Comme l’a fait WikiLeaks. Dans la Grèce antique, on appelait tout calomniateur de l’espèce de Mendès France, « un…

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Auteur: Maxime VIVAS Le grand soir