A Medelin, capitale mondiale du trafic de drogue, Pablo Escobar faisait preuve d’une inimaginable cruauté pour préserver ses territoires. Par exemple, pour s’assurer de la loyauté de ses membres, son cartel appliquait une règle horrible : tout collaborateur déloyal était exécuté, mais il devait savoir que sa famille : son père, sa mère, ses frères et sœurs, sa femme, ses enfants, etc., seraient également abattus, même s’ils désapprouvaient (ignoraient peut-être) ce que faisait le trafiquant. Tous devaient mourir, par vengeance élargie et pour que nul n’ignore ce qu’il en coûtait de nuire au « patron ».
Je ne sais pas pourquoi je vous raconte ça alors que j’étais parti pour vous parler de Nétanyahou, de l’armée d’Israël écrabouillant tous ces Palestiniens qui n’avaient rien à voir avec le Hamas.
Théophraste R. Auteur de l’essai (en cours) : « Bricoleur dilettante, le vrai Pepe Escobar, n’a jamais réussi à tuer plus de 10 000 personnes en quelques jours. Pfff ! ».
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