La mort d'un Pape qui continue à faire jaser — Ruben RODRIGUEZ

Le 28 août 2021 marque le 43ème anniversaire de l’élection d’Albino Luciani comme successeur du Pape Paul VI.

Sa mort, 33 jours plus tard, a été totalement imprévisible et les circonstances l’entourant plutôt suspectes.

La réalisation d’une autopsie a été, dès le depart, écartée par ceux-là mêmes qui l’ont entouré dès le constat de son décès. Jusqu’à ce jour, cet autopsie n’a jamais pu se concrétiser.

Au delà des journalistes d’investigation qui ont levé le voile sur la mort du pape Jean-Paul Ier, mettant en évidence que cette mort était plus près d’un assassinat que d’un infractus, s’est présenté, 43 ans après sa mort, un haut gradé de la Mafia qui avoue, dans un livre, qu’il est lui-même le responsable de la mort du pape. C’est ce récit que Ruben Rodriguez porte à notre attention.

Le 28 septembre 1978 semblait être un jour comme un autre au Vatican. Le pape de l’époque, Jean-Paul Ier, prenait le thé, tout en passant en revue mentalement les tâches qui restaient à accomplir pendant la journée. Cependant, après plusieurs gorgées de tasse, il a commencé à se sentir lent et lourd : quelques minutes plus tard, il s’était profondément endormi… pour ne plus jamais se réveiller.

Aujourd’hui, 41 ans plus tard, l’un des gangsters les plus connus au monde prétend que c’est lui qui a comploté son assassinat. Anthony Raimondi était l’un des gangsters les plus actifs du dernier quart du XXe siècle. Appartenant à la mafia de Colombo, il a contrôlé pendant de nombreuses années les rues de New York d’une main de fer. Il était non seulement respecté pour ses mauvaises actions, mais aussi en grande partie pour être le neveu du mythique Lucky Luciano, connu pour être le père du crime organisé en Amérique du Nord. Mais l’une de ses missions les plus secrètes a eu lieu au Vatican, comme il l’explique dans une interview au The New York Post.

Raimondi se reproche lui-même d’avoir été responsable de l’assassinat du pape Jean-Paul I. Il l’a fait dans son dernier livre, intitulé Quand la balle frappe l’os, une sorte d’autobiographie dans laquelle il raconte certains de ses actes criminels les plus notoires. Et c’est précisément là qu’il explique comment le pontife est mort : d’abord, il a été drogué au Valium et, peu de temps après, il a été assassiné avec une solution à base de cyanure. Raimondi assure avoir reçu un appel de l’archevêque Paul Marcinkus, qui était son cousin, pour lui expliquer que le Pape allait rendre…

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Auteur: Ruben RODRIGUEZ Le grand soir