Hasard du calendrier, en pleine campagne des législatives, la préférence nationale sera au centre des débats du procès qui oppose plusieurs associations antiracistes à trois cadres (ou ex-dirigeants) du Rassemblement national. L’affaire remonte à 2013, lorsque le parti, qui s’appelait encore le Front national, demandait à ses futurs élus d’appliquer la préférence nationale, dans la perspective des élections municipales de 2014. Or, la loi l’interdit. Et le RN a durci son programme sur la question.
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Auteur: Blast