L’Actu des Oublié.es – Le stade final de l’impérialisme : Un avenir radicalement éco-féministe 2/2

Deuxième partie du volet consacré à l’impérialisme et la ruée des multinationales sur le continent africain. Après avoir cherché à comprendre le système néo-colonial qui assure la toute puissance des multinationales au détriment des peuples, des écosystèmes et des perspectives de vie sur terre, l’Actu des Oublié.es  explore cette semaine les résistances qui s’opposent à l’empire.

 

Nous entendrons Amzat Boukari Yabara, auteur de L’empire qui ne veut pas mourir, une histoire de la Françafrique ; puis Georgine Kengne Djeutane, économiste et coordinatrice de la campagne le droit de dire non au sein de l’alliance africaine écoféministe Womin.

 

 

MEDIAS
Le site de l’orga Re-act Transnational et son rapport Développement Insoutenable
Equal Times
Farmlandgrab.com
Mediapart
Les sites des organisations Womin, Natural Justice,

 

MUSIQUES
1’17 A qui ? De Moonaya
10’43 Coming with Fire, de Wiyaala
24’58 Wo power tongo de Sister Lessa

 

VISUEL Wikimedia Commons
Grève du Climat, Genève, 22 octobre 2021; auteur: MHM55. impérialisme

 

Écouter la première partie : Le stade final de l’impérialisme : l’empire contre-attaque

 


Présentation de L’Actu des oublié.e.s

 

Les oublié.e.s. Les invisibles, les précaires, les laborieux, laborieuses pris.e.s dans l’œil du cyclone capitaliste ; les peuples ou groupes sociaux dont l’existence même est menacée ; celles et ceux que l’on ignore parce que le monde médiatique les a oubliés et qui lèvent le poing dans l’ombre, bien à l’abri du regard des caméras et des micros.

Leur résistance quotidienne, leur soulèvement spontané, leurs expériences sociales soufflent un espoir déterminé, sèment les graines des pratiques futures, s’érigent avec courage en rempart contre l’obscurantisme. Quand un peuple, ou une portion d’un peuple, retrouve sa liberté de parole, expérimente l’auto-organisation et des formes inédites de solidarités et de partage, la transformation sociale commence. C’est peut-être ça, le point de départ d’une révolution. L’instant où les acquis moraux et sociaux d’un évènement, d’une période, font dire à des millions de personnes réunies : Nous ne reviendrons pas à la normalité.

Voilà ce que raconte l’Actu des Oublié.e.s.

Face à la violence crasse et aux ruses décomplexées de l’idéologie néo-libérale qui détricote nos systèmes de santé, épuise les terres et s’enrichit sans partage, opposons les initiatives qui nous rendent collectives, solidaires, et mues par d’heureuses perspectives…

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Auteur: La rédaction