« L’affaire Vivre à Brest », objet d’un livre signé Thierry Fayret …

En ce moment, le monde est partagé en 2 : d’un côté, il y a celles et ceux qui ont en main le livre de Thierry Fayret « L’affaire Vivre à Brest » et de l’autre, celles et ceux qui vont bientôt se le procurer. Ce bouquin s’appuie  sur ses 18 ans d’élu de la majorité municipale où il a pris de plus en plus de responsabilité au fil des mandats, ainsi que sur l’ensemble des documents de la procédure de justice dont il a eu accès en tant que partie civile …

Dans un monde où la communication a pris le pouvoir, les contrepouvoirs sont contraints à rentrer dans ce jeu.  Plus des organes alternatifs feront de ces histoires des objets de débats publics et plus les politiques y feront attention … PrendreParti  invite aujourd’hui  ses lectrices et lecteurs à prendre connaissance de ce livre que vous pouvez vous procurer par ici …« Dans ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire » , écrivait en 1949 George Orwell dans son roman « 1984 » . Cette citation a été choisie par Thierry Fayret en préface de son bouquin.

En plus du livre, Thierry Fayret  a édité  4 notes sur son blog afin de présenter le sens et les différents chapitres du livre … et donner envie de le lire aussi !

1 La première note est associée à une vidéo de François Cuillandre qui est intéressante à voir sur la sincérité de ses propos devant les journalistes, une fois que l’on a connaissance de tout ce qu’il y a dans le livre.

Y aura-t-il un procès pour l’affaire « Vivre à Brest » ? C’est la porte entrouverte par le procureur de la République de Brest, Camille Miansoni, qui vient de prendre des réquisitions en ce sens, au terme de deux ans et demi d’enquête.

Celle-ci avait été ouverte pour « détournement de fonds publics » en mars 2018, à la suite des révélations, dans nos colonnes, de l’existence d’un système de collecte et de redistribution irrégulier et opaque des indemnités des élus socialistes brestois, via leur association, « Vivre à Brest ».

 

500 000 € versés à Alain Masson

L’enquête judiciaire avait révélé qu’Alain Masson, président de l’association et adjoint au maire, avait touché, entre 2007 et 2018, près de 500 000 €, en plus de ses indemnités, à l’insu des autres élus, alors que le dispositif, « solidaire », était censé aider les élus les moins bien indemnisés. Pour ces faits présumés, le bras droit du maire, contraint à la démission en novembre 2018, avait été mis en examen pour…

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Auteur: Claude Morizur