L’anti-complotisme mené par le gouvernement et ses alliés devient une modalité du maintien de l’ordre et de la censure. Pratique pour dénigrer toute contestation du Pouvoir.
Quelques exemples récents autour de l’antisémitisme et autre.
En réalité, les pires complotistes et manipulateurs sont au gouvernement, dans les multinationales et dans les oligarchies. Eux intriguent véritablement non stop pour conquérir et garder le pouvoir, pour défendre et étendre le capitalisme, pour masquer leurs exactions, pour s’enrichir, pour renforcer les pouvoirs de leurs camarades représentants de leur classe.
L’anti-complotisme, nouveau moyen de répression, de censure et de dénigrement des contestations
LE BON ET LE MAUVAIS COMPLOTISME
Nouvelle règle : seuls les macronistes ont le droit d’être complotistes –
L’accusation de « complotisme » est devenue un outil pour neutraliser toute pensée critique, et faire oublier tous les mensonges du gouvernement. Pendant la pandémie, Macron a promis qu’aucun Pass sanitaire ne serait obligatoire, avant de l’imposer. Et immédiatement, dénoncer le Pass sanitaire est devenu « complotiste ». Il était aussi « complotiste » de redouter le contrôle numérique l’état d’urgence sanitaire : ils sont désormais maintenus et leurs techniques appliquées pour les Jeux Olympiques. En avril 2022, a propos du scandale autour des financements publics du cabinet Mc Kinsey, Gabriel Attal parlait de « complotisme » et Bernard Henry Levy y voyait, en plus du « complotisme » de « l’antiaméricanisme. »
L’anticomplotisme s’est donc imposé comme une modalité du maintien de l’ordre et de la censure
Dénoncer les bombardements d’hôpitaux à Gaza était « complotiste » en octobre 2023, il est désormais établi qu’Israël a méthodiquement frappé tous les lieux de soin. D’une manière générale, poser des questions en temps de guerre est complotiste. Dans une…
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