Le chef d'orchestre qui jouait du pipeau

Dire qu’un chef d’orchestre mystérieux (et qui peut-être mâche du chewing-gum en disant « damned » et « fuck ») commande les croque-notes de nos médias, c’est du complotisme.

Je ne le dirai donc pas.

N’empêche que, depuis des mois, l’Ukraine avait éclipsé la Chine. On avait presque oublié qu’il fallait dire « Ouïghours » et non pas « Yoghourts » (comme le fit l’éléphant « socialiste » Kouchner, ministre de Sarkozy) quand éclata de la fosse d’orchestre un tintamarre universel qui nous ramena au Xinjiang.

Autrement dit, des documents à foison (bidons mais validés par leur reprise en boucle par les médias occidentaux unanimes) nous rappellent le sort de ce peuple martyr.

Pourquoi la reprise de cette symphonie ? Parce que Michelle Bachelet, haut-commissaire de l’ONU aux droits humains se trouve en visite au Xinjiang.
Dès lors, il urge que nos journalistes, sans y avoir mis les pieds, nous disent que, là-bas, elle ne va rien voir, pareille dans la cécité à un administrateur du Grand Soir qui s’est rendu deux fois sur place.

Théophraste R. (Journaliste estampillé LGS, rien à voir).

La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Le grand soir